Clafoutis de Mamie M
Anarchy et le périple du clafoutis, deuxième épisode !

En réponse à la bombe lancée par le Grand Chef Uruk-Haï, j’ai décidé de prendre le taureau Catalan par les cornes et d’aller chercher à la source la sacro-sainte recette du clafoutis ancestral !
J’ai donc promptement chopé mon Natel (et oui, ici on nomme ceci comme cela) et j’ai téléphoné à Mamie Uruk-Haï …
J’ai donc récupéré une idée de recette de base que j’ai par la suite adapté en version Gluten & Lactose Free.
J’avoue, c’est beaucoup mais alors là, beaucoup plus simple, que la “fashion version” et finalement c’était pas plus mal car j’en avais déjà gros !






Ingrédients
- 600 g de cerises (que j’ai dénoyauté, oui je sais c’est mal !)
- 4 œufs
- 20 cl de lait végétal ( toujours lait de coco en brique ici)
- 100 g de maïzena
- 60 g de sucre (cassonade aussi ici)
- 1 sachet de sucre vanillé
- 40 g de beurre végétal (ici j’ai pris du demi-sel et je n’ai pas mis la pincée de sel)
- 1 pincée de sel fin
- sucre glace



Préparation
- Préchauffer le four à 210°C (thermostat 7).
- Laver rapidement les cerises sous un filet d’eau fraîche, les équeuter et les égoutter. Ici j’ai retiré tous les noyaux car on a un Grand Chef qui a les quenottes fragiles (cela arrive souvent quand on a des allergies alimentaires malheureusement) mais la recette traditionnelle veut qu’on les laisse, donc c’est à vous de voir si vous les laissez ou pas…
- Faire fondre les 40 g de beurre moins d’1 minute au micro-onde.
- Mélanger dans un grand bol la farine, le sucre, le sel (pas de sel si vous optez pour du beurre demi-sel) et le sucre vanillé.
- Incorporer les œufs petit à petit puis le lait tout en continuant de mélanger.
- Ajouter le beurre fondu. Mélanger.
- Beurrer grassement un moule, ranger les cerises sur le fond puis verser la pâte à clafoutis.
- Mettre au four pendant 10 minutes à 210°C puis baisser la température à 180°C, cuire le clafoutis encore 20 mn.
- Servir le clafoutis froid ou tiède, saupoudré de sucre glace.
FACULTATIF OU NON : - Coller le clafoutis sous le nez du Grand Chef Uruk-Haï, le manger devant lui sans lui en donner une part tout en lui disant – la bouche pleine – “T’ach réson, ché meilleur !” … se barrer promptement dans son bureau.




