Suprême fondant au chocolat et à la crème de marron
Attention j’ai dit Suprême et non pas Supremes … comme ici …
Première minute culturelle de l’année !
Car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes … et oui … en 2022, je vais continuer à vous “CULTURER” !! On est parti.
The Supremes, plus tard connu sous le nom de Diana Ross and The Supremes, est un groupe de musique féminin américain originaire de Détroit dans Michigan, actif de 1959 à 1977.
Diana Ross (née le 26 mars 1944), Florence Ballard (1943-1976) et Betty McGlown (1941-2008), chantaient depuis toutes jeunes, dans des pavillons ouvriers du nord-est de Détroit dit « Brewster-Douglas housing projects » où elles étaient voisines. Elles incorporeront dans leur groupe Mary Wilson (1944-2021), qui venait du Mississippi tandis que Betty sera remplacée par Barbara Martin (1943-2020) (avant que celle-ci ne s’en aille parce que c’était comme ça …).
Le groupe qu’elles avaient formé, sous la houlette de Florence Ballard et sous l’impulsion d’Eddie Kendricks et de Bill Williams, DJ de la radio locale WCHB, s’appelait The Primettes pendant que le groupe The Primes (groupe masculin, base des futurs Temptations, Eddie Kendricks et Paul Williams) exerçait.
Figure mythique du label Motown créé par Berry Gordy, The Supremes est le groupe féminin le plus populaire de l’histoire des États-Unis, ainsi que le groupe féminin ayant vendu le plus de disques au monde derrière les Spice Girls (et oui le groupe au deux MEL).
Le groupe classe 12 titres en tête des charts américains : Where Did Our Love Go, Baby Love, Come See About Me, Stop ! In the Name of Love, Back in My Arms Again, I Hear a Symphony, You Can’t Hurry Love, You Keep Me Hangin’ On, Love is Here and Now You’re Gone, The Happening, Love Child, et Someday We’ll Be Together. Et oui rien que ça ma bonne dame !
Voilà ça c’est fait, on retourne à notre Suprême au chocolat et à la crème de marron. Donc, comme vous le savez (ou pas), nouvel appartement = nouvelle cuisine = nouveaux appareils électroménagers à tester = parfois grosse galère !
En gros, en ce moment je suis en pleine “domestication” du four du nouvel Home Anarchiste et j’avoue que nous sommes partis du mauvais pied, lui et moi (enfin surtout lui ..).
Tout à (mal) commencer quand j’ai ouvert pour la première fois sa porte. J’ai trouvé de drôles d’inscriptions qui reliaient des numéros étranges à la position de la grille et de la plaque du zinzin, du style : si G2 se trouve en B4, passer en 6 …
“Grand Chef ? tu te souviens du jeu “Touché Coulé” ? Tu peux dire au four qu’il doit arrêter de mal me parler sinon y’a des chances que je lui coule son porte-avion !”
Voilà nous en sommes là … en ce moment je place gentiment mes bateaux et je me prépare à lancer l’offensive ! La suite au prochain épisode !
Ingrédients
- 250 g de crème de marrons vanillée
- 100 g de chocolat à forte teneur en cacao (60 % au moins et surtout sans lactose)
- 100 g de beurre végétal (ou de beurre de meuh-meuh)
- 100 g de maïzena
- 3 œufs
- une pincée de sel
Préparation
- Préchauffer votre four à 180°C (thermostat 6 … ça doit être ça le 6 …).
- Au bain-marie, faire fondre le chocolat avec le beurre à feu doux en mélangeant doucement, puis retirer du feu et ajouter la crème de marrons. Mélanger doucement jusqu’à ce que le mélange soit parfaitement lisse (non je ne vais pas dire “homogène”).
- Séparer les blancs des jaunes d’œufs. Ajouter les jaunes au mélange précédent, puis la maïzena. Mélanger de nouveau.
- Battre les blancs d’œufs en neige avec une pincée de sel et les incorporer délicatement jusqu’à obtenir une préparation homogène (flûte je l’ai dis … et c’est reparti … 1 CHF).
- Pour finir, verser dans un moule à gâteau (de préférence peu profond) et faire cuire pendant 20 à 25 minutes en fonction du fondant désiré.
- Déguster tiède ou bien froid … je vous laisse choisir !
